Ouatéco est une entreprise familiale fondée en 2009 à Saint-Geours-de-Maremne, qui s’est imposée comme une référence dans la production d’isolants écologiques performants. Spécialisée dans la fabrication de ouate de cellulose et de panneaux en coton recyclé, elle s’engage dans une démarche d’économie circulaire et de développement durable.
La transformation de papiers recyclés fabrique de la ouate de cellulose, un isolant thermique biosourcé qui régule l’humidité des bâtiments. Le processus de fabrication finlandais éprouvé depuis 60 ans garantit une ouate de haute qualité sans eau ni séchage nécessaire.
Des matières premières locales et recyclées
Ouatéco privilégie les circuits courts en collectant des papiers usagés, principalement issus de journaux locaux, dans un rayon de 150 km autour de son usine. Ce fonctionnement favorise l’économie circulaire et réduit l’empreinte carbone. Les collectes se font également en partenariat avec des associations locales, mais aussi avec le village Emmaüs Lescar-Pau. Par la suite, ces matériaux recyclés sont transformés en isolants, ce qui contribue efficacement à la réduction des déchets.
Les panneaux isolants en coton recyclé « Passiv » : une révolution dans l’isolation
Saviez-vous que l’on peut transformer des textiles usagés en panneaux isolants ultra performants ? En effet, cela devient possible grâce à Ouatéco, qui innove avec les panneaux isolants « Passiv ». Ces panneaux sont fabriqués à partir de fibres de coton recyclés issues de ces textiles usagés.
Ces panneaux offrent des performances thermiques et acoustiques exceptionnelles, avec une réduction sonore jusqu’à 70dB, idéales pour des espaces calmes. Légers et faciles à poser, ils sont disponibles en différentes épaisseurs pour s’adapter à divers besoins d’isolation.
En choisissant les panneaux « Passiv », les consommateurs optent pour une solution d’isolation 100% française, issue d’une fabrication respectueuse de l’environnement. En effet, l’entreprise collecte toutes les matières premières en France, réduisant ainsi l’impact écologique de la Fast Fashion et des 100 000 tonnes de déchets textiles jetés chaque année.